Pour « Prélude », j’ai choisi un format panoramique afin que se déploie un paysage à perte de vue, comme une invitation à l’évasion. L’ondulation des formes semble se prolonger au-delà des limites de la toile, suggérant un univers sans fin. Paisiblement, l’œuvre guide le regard dans une promenade sans limite, incitant à la rêverie et à la contemplation.