« Fireland » est né d’une impulsion. Une vision esthétique s’est imposée à moi, révélant, une fois l’œuvre achevée, des forces destructrices. Ici, le feu consume tout, symbolisant une révolte intérieure face à la violence du monde. « Fireland » est le miroir inversé de mon travail habituel, où je célèbre la beauté et l’équilibre de la nature. Ici, la nature est meurtrie, mais elle n’est pas vaincue. Des lueurs d’espoir subsistent, laissant entrevoir la possibilité d’une renaissance.