Dans cette exploration d’un paysage imaginaire, l’intensité réside dans le contraste brut entre les ocres chauds et les gris froids. La lumière est ici l’élément clé : elle n’est ni crépusculaire, ni un plein soleil, mais une clarté puissante émergeant horizontalement, juste au-dessus de la ligne de force de la composition. J’ai travaillé les reliefs pour donner corps à cette séparation entre le ciel éthéré et la masse terrestre sculptée. « Planet » est une œuvre atmosphérique sur l’équilibre des forces.